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THÉÂTRE : L’EMPRISE DE LA PASSION

4

novembre

l'emprise de la passion

COMÉDIE

Lorsque Marie-Sophie rencontre Corentin, son collègue et modeste chef de bureau à l’Institut de la Statistique, pour lui avoir avouer être follement éprise de lui, elle va devoir le convaincre de tout l’intérêt de céder à cette passion naissante. Rien ne vaut les espoirs et les tourments de la passion amoureuse, surtout comparés à la vie rangée mais terne que Marie-Sophie croit déceler chez Corentin. Ce dernier, dubitatif au début, va-t-il se laisser tenter par l’Aventure avec un grand A que lui fait miroiter Marie-Sophie, et à quel prix ?

QU’EST-CE QUE LA PASSION ET QUEL EST LE PRIX À PAYER POUR LA VIVRE PLEINEMENT ?

Cette pièce se joue en appartement. pour tout renseignement , s’adresser à ce site ou contacter : http://enapartetheatre.blogspot.com/

EXTRAIT :

MARIE-SOPHIE :  La folie de la passion ravage tout sur son passage, c’est là sa force, sa beauté, vous le savez bien, pourtant ?

CORENTIN : On le dit. Mais pour ma part je n’ai jamais rien éprouvé de tel.

MARIE-SOPHIE : Moi non plus Corentin, moi non plus ! C’est bien pour cela qu’aujourd’hui, je ressens au plus profond de moi-même que quelque chose de nouveau est en train de survenir. Que quelque chose d’absolu, de ravageur, d’extrême, d’inouï, est en train de nous arriver et c’est… Ah, c’est… Tiens, les mots sont tous simplement impossibles pour dire toute l’étendue de ce tremblement de terre, de ce…

CORENTIN : Ne vous inquiétez pas Marie-Sophie, tout finira bien, tout va redevenir comme avant… Un accès de fièvre sans doute, un mauvais virus peut-être… Rentrez chez vous, mettez-vous au lit, prenez un congé de quelques jours, attendez que ça passe et revenez-nous en pleine forme. L’Office National de la Statistique compte sur nous, il nous faut rester inébranlables à nos postes.

MARIE-SOPHIE : Corentin, Corentin, mon amour ! Ne dites donc pas de bêtises, c’est vous que la fièvre égare ! L’importance de votre tâche vous fait perdre de vue la réalité. Oui, nous sommes fous, mais fous d’amour, c’est tellement bon… !

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